Séminaires de la Chaire
La Chaire RENEL organisera un séminaire par trimestre pour présenter les travaux réalisés dans le cadre de la chaire. D’autres séminaires sont organisés ponctuellement pour débattre avec des invités, les chercheurs et les partenaires autour de thématiques propres à la Chaire.
Le 8 novembre 2022, la Chaire RENEL a eu le plaisir d’accueillir au BETA, à Nancy, Markus Hermann de l’Université de Laval pour présenter son working paper : « Phasing out non-renewable energy in Québec: the gap between Québec’s floor and cost-effective price on carbon ».
Cette présentation aura alimenté de nombreuses questions et discussions sur la manière de conduire la décarbonation des économies développées. Par ailleurs, cette venue de Markus Hermann a permis d’envisager des collaborations futures entre chercheurs et doctorants des deux pays.
Le 22 mars 2022, Kelly M. Cobourn, Associate Professor (Virginia Tech) a animé un séminaire surles ressources forestières.
Séminaire animé par David Desmarchelier, maître de conférences HDR à la chaire RENEL, au BETA et à l’Université de Lorraine.
Résumé : This paper develops a very simple model of endogenous growth à la Lucas (1988) in which a representative household has to choose between environmental preservation and human capital accumulation. After computing analytically all possible trajectories, we point out that one of them depicts an inverted U-shape relationship between human capital (production) and pollution (i.e an Environmental Kuznets Curve). However, we prove that this particular trajectory is not optimal. The optimal one is the Balanced Growth Path (BGP).
Séminaire animé par Samuel Ligonnière (BETA – Strasbourg)
Résumé : Ce travail nous amène à considérer les effets réels de la crise Dexia sur les finances publiques locales. L’objectif est d’apprécier les conséquences de l’exposition des communes à des emprunts structurés toxiques sur leurs décisions d’engager ou non des investissements mais également leurs choix quant au mode de financement de ces investissements. Nos résultats préliminaires suggèrent l’émergence d’un biais fiscal. En effet, au delà d’une réduction de la dépense d’équipement, les communes qui ont été exposées à des emprunts toxiques ont un penchant anormalement prononcé pour l’autofinancement des investissements. Cet effet survient alors même que ces dernières n’ont pas nécessairement rencontré de difficultés financières à cette occasion.
Le 21 juin 2021, Guillaume Morel (doctorant – BETA Strasbourg) a présenté un séminaire portant sur l’impact d’une politique de confinement sur le bien-être et la dynamique d’une économie confrontée à la propagation d’une maladie infectieuse.